Un, à chacune son chacun et à chacun sa chacune, le brun allant dans la brune et la brune dans le brun.
Deux, notre passé est inglorieux, nos héros sont piteux, mais il est sacré mon feu.
Trois, tout cela m’est trop étroit, je suis encore celui-là que j’étais avant le bon Wojtyla.
Quatre, il est au-dedans mon théâtre et il ne fait que surcroître.
Cinq, il n’y a pas que tes seins que je vénère, penche-toi sur moi que je t’en convainque.
Six, attends un peu que je me définisse et que Pégase hennisse.
Sept, ne sais-tu pas que tu m’es parfaite, alors pourquoi me restes-tu abstraite ?
Huit, fini le bon le beau coït, de Paris il ne reste que le pari sur la fête du quatre-vingt-huit, vers le haut je prends la fuite.
Neuf, je resterai le ténébreux, oui le veuf, l’inconsolé, tant que je ne retraverserai pas le Pont-Neuf.
Dix, je patauge dans le péché à mi-cuisses, c’est à moi d’embrasser une catharsis et de nouvelles prémisses.
Onze, qu’on zoome, je la coule dans le bronze.
Douze, il y a certes de quoi être jalouse, dans notre penthouse c’est à l’envers que se fait notre soyouz.
Treize, vive les nouvelles hypothèses.
Quatorze, tu es ma magicienne d’Oz et ma triple trouée, pour cause.
Quinze, je souffre de ne plus être ton petit Louis XV.
Seize, fini la longue parenthèse, que je revienne dans ta glaise !